L’environnement en Polynésie est la base à deux principaux secteurs économiques :
- Le tourisme,
- La pêche et la perliculture
Les touristes viennent en Polynésie pour profiter d’un environnement peu dégradé. Rien n’est fait pour assurer que ce dernier restera en l’état dans les années à venir.
On constate dans les lagons une diminution des espèces piscicoles par une surpêche lagonaire et l’absence ou la non application des contraintes (PGEM a Moorea non respecté par absence de moyens)
La pollution des lagons est apparemment responsable des baisses de productions d’essaims de nacre dans certains atolls.
Les introductions d’espèces s’est fait au dépend d’espèces endémiques (fourmis de feu, miconia…. es contrôles phytosanitaires sont quasi inexistants en comparaison avec certains pays comme les USA ou l’Australie. Les importations massives sont des portes d’entrées (exemples des écureuils de Taravao.).
Le tourisme de masse n’est pas a la portée de la Polynésie de par le coût des voyages, séjours, activités et qualité de service… en lutte avec des destinations moins cher et mieux vendues : Hawaii, Asie du Sud Est, Océan indien…La protection des spécificités naturelles du Fenua est le garant de l’attrait de la destination pour un tourisme en plein essor : le tourisme vert. Ce tourisme attire une clientèle plus fortunée. Il se fait dans le cadre d’une urbanisation contrôlée.
La Polynésie a développé un tourisme essentiellement luxueux sans garantir aux clients un cadre naturel à la hauteur pour les années à venir.
- Le tourisme,
- La pêche et la perliculture
Les touristes viennent en Polynésie pour profiter d’un environnement peu dégradé. Rien n’est fait pour assurer que ce dernier restera en l’état dans les années à venir.
On constate dans les lagons une diminution des espèces piscicoles par une surpêche lagonaire et l’absence ou la non application des contraintes (PGEM a Moorea non respecté par absence de moyens)
La pollution des lagons est apparemment responsable des baisses de productions d’essaims de nacre dans certains atolls.
Les introductions d’espèces s’est fait au dépend d’espèces endémiques (fourmis de feu, miconia…. es contrôles phytosanitaires sont quasi inexistants en comparaison avec certains pays comme les USA ou l’Australie. Les importations massives sont des portes d’entrées (exemples des écureuils de Taravao.).
Le tourisme de masse n’est pas a la portée de la Polynésie de par le coût des voyages, séjours, activités et qualité de service… en lutte avec des destinations moins cher et mieux vendues : Hawaii, Asie du Sud Est, Océan indien…La protection des spécificités naturelles du Fenua est le garant de l’attrait de la destination pour un tourisme en plein essor : le tourisme vert. Ce tourisme attire une clientèle plus fortunée. Il se fait dans le cadre d’une urbanisation contrôlée.
La Polynésie a développé un tourisme essentiellement luxueux sans garantir aux clients un cadre naturel à la hauteur pour les années à venir.
1 commentaire:
Pour l'atelier - Article à lire
RESSOURCES NATURELLES - Brève publiée le : 10/04/2007
L'IRD préconise des mesures de gestion durable de la pêche aux bénitiers
Lien à cliquer pour lire l’article :
http://www.actu-environnement.com/ae/news/ird_gestion_durable_peche_benitiers_2458.php4
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